Le bonheur au travail : les trois dimensions

"Nous voulons faire un travail utile et amusant, peut-être même un bon travail ou un beau travail. Nous voulons accomplir quelque chose. Et idéalement, nous aimerions que notre travail nous transcende. Qu'il nous dépasse d'une manière ou d'une autre.

C'est ainsi que commence la préface du livre de Ben Tiggelaar, "Mooi Werk". Mooi Werk", un livre de Ben Tiggelaar qui reste d'une brûlante actualité. qui reste d'une brûlante actualité. Car n'est-ce pas ce que nous voulons tous encore ? Faire un travail agréable, amusant et bon qui, idéalement, nous dépasse ?

Et pourtant, cela se passe très souvent mal. Les gens se sentent mal à l'aise au travail, sur le lieu de travail ou dans les deux cas !

Qu'est-ce qui ne va pas ?

  • Les gens attendent le week-end avec impatience, rêvant depuis des années des plaisirs qu'ils auront à vivre une fois à la retraite.
  • Les gens font des tentatives inattendues et entament des conversations avec des collègues, des superviseurs, des responsables des ressources humaines, etc. dans l'espoir qu'ils leur diront quoi faire.
  • Les gens deviennent frustrés, démotivés, fatigués, blasés. Ils entrent dans un cercle vicieux où ils ont de plus en plus de mal à se ressourcer pour faire ce qu'ils sont censés faire, d'abord sur le plan professionnel, mais aussi, avec le temps, sur le plan privé. L'employé autrefois motivé adopte un rythme de 9 à 5 par souci de préservation.
  • Les gens commencent à douter d'eux-mêmes. Peuvent-ils vraiment faire ce travail ? Ne feraient-ils pas mieux d'opter pour un autre emploi à un niveau inférieur ? Ou bien le manager a-t-il raison de dire que leur façon de travailler n'est pas bonne ? Qu'ils devraient essayer un tout petit peu plus de mettre de l'ordre dans leur structure, de travailler plus efficacement, de peaufiner leur gestion du temps, d'aller droit au but, d'être plus pragmatiques, d'avoir des discussions plus constructives et bien d'autres choses encore ?

Pas de bonheur au travail ?

Aucune idée ? La seule chose qui est sûre, c'est qu'il n'y a pas de gagnant dans le scénario ci-dessus. Les employeurs sont désemparés car ils ne parviennent pas à réaliser la croissance prévue de l'entreprise. Les employés sombrent dans des absences fréquentes, courtes ou longues, dans la dépression, dans le burn-out et dans une tête pleine de points d'interrogation où la confiance en soi n'a plus aucune chance.

Mais où allons-nous ? Que faut-il pour s'assurer d'être heureux et satisfait au travail ou par son travail ? Que faut-il pour pouvoir dire que nous sommes même heureux au travail ou par notre travail ? Ou qu'est-ce que le "bonheur" tout court ?

Ben Tiggelaar connaît lui aussi la réponse à cette question. Il a étudié les travaux du psychologue Martin Seligman, l'un des fondateurs de la psychologie positive. Ce dernier a mené une étude sur le "bonheur" et est parvenu à trois dimensions importantes du bonheur.

Le bonheur au travail grâce à un travail agréable, bon et utile

S'appuyant sur toutes sortes de recherches pratiques et empiriques sur le travail et l'expérience professionnelle, Ben Tiggelaar définit le bonheur au travail comme étant constitué d'un travail agréable, d'un bon travail et d'un travail qui a du sens.

  • Aimer le travail, c'est vouloir y appartenir. Être entendu et vu dans ce que nous sommes ou dans ce que nous faisons, et savoir ce que l'on attend de nous, afin de savoir quand notre travail sera considéré comme bon.
  • Un bon travail est lié à ce que nous avons à faire au travail et à la manière dont nous nous sentons dans ce travail. À cet égard, il est essentiel de pouvoir utiliser ses forces, de participer, de se développer et d'obtenir de bons résultats.
  • Un travail qui a du sens implique de vouloir travailler dans un but plus élevé, quelque chose qui nous transcende.

Qu'il s'agisse simplement de la satisfaction que nous éprouvons dans ce que nous faisons chaque jour, de la joie que nous ressentons lorsque nous obtenons un excellent résultat en équipe ou de la fierté de travailler pour cette entreprise en particulier... Peu importe tant que nous pouvons voir par nous-mêmes le "pourquoi" de notre travail.

Il est plus facile à dire qu'à faire d'avoir ou de trouver un travail agréable, un bon travail et un travail qui a du sens. La pratique montre que de nombreuses personnes ont des difficultés dans leur travail en raison de l'absence de la pièce manquante, à savoir la reconnaissance, l'appréciation, l'inspiration, le défi, la collégialité, la participation ou autre.

Malheureusement, il n'est pas toujours facile de déterminer où les choses se passent mal et ce qui pourrait être amélioré.

Le bonheur au travail grâce à l'orientation professionnelle avec les chèques-carrière

Heureusement, le gouvernement flamand est lui aussi conscient qu'il y a encore du travail à faire et que tant les entreprises que les particuliers gagneraient à s'attaquer activement à ce problème. C'est la raison pour laquelle le système de chèque-carrière a été créé en 2013. L'objectif de cette subvention est d'offrir un accompagnement professionnel aux personnes qui, pour une raison ou une autre, sont bloquées ou risquent de l'être.

Le bonheur au travail ?

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